Y a-t-il eu faute morale dans l’établissement des traductions du missel de 1969 ?
On nous dit que, puisque l’Eglise n’avait pas légiféré en matière de traduction liturgique, le traducteur était libre de faire comme il le voulait.
C'est faux.
Et cela dénote un mauvais comportement moral du traducteur.